« Demain, peut-être. Mais si son pied lui fait mal, il ne va pas jouer, c’est aussi simple que ça », explique Collins au Philadelphia Daily News. « Il est trop précieux et trop important. L’athlète, le joueur seront toujours les personnes qui décideront de ce qu’ils font. Ils savent quand ils sont aptes à jouer. Mais le plus important c’est qu’il sache mentalement s’il est prêt à jouer et à faire ce qu’il a à faire. »Le problème pour Holiday, c'est que sa blessure intervient à un moment délicat puisque les Sixers vont disputer 10 de leurs 12 prochains matches à l'extérieur.
« C’est difficile. Je sens que nous pouvons gagner beaucoup de matches et que je pourrais aider mon équipe et il y a beaucoup de pression sur moi pour que je revienne », explique le joueur qui trépigne d'impatience mais qui sait qu'il n'est jamais facile de soigner une blessure en déplacement. « En même temps, je veux juste être capable de jouer, marcher, courir et sauter. Vous devez faire tout ça pour être compétitif. Je vais essayer de revenir dès que possible. »