Josh Primo, affaire réglée après un accord à l’amiable

Après une énorme polémique, les San Antonio Spurs, Josh Primo et l'ex-psychologue de la franchise texane ont trouvé un accord à l'amiable.

Josh Primo, affaire réglée après un accord à l’amiable

Une affaire réglée à l'amiable. Récemment coupé par les San Antonio Spurs, Josh Primo se retrouvait accusé d'exhibitionnisme par l'ex-psychologue de l'équipe Hillary Cauthen. Et cette dernière pointait également du doigt la gestion des Spurs de cette histoire.

Après le dépôt d'une plainte le 3 octobre dernier, les trois parties ont finalement trouvé un accord à l'amiable. Une nouvelle annoncée par l'avocat de Cauthen auprès du média ESPN.

"Les parties ont accepté de résoudre cette affaire. Toute l'affaire est terminée et nous n'avons pas d'autre commentaire", a fait savoir son représentant Tony Buzbee.

Particulièrement discret au sujet de cette affaire, San Antonio a également diffusé un message par le biais du président RC Buford.

"La situation concernant Josh Primo est une affaire que nous prenons au sérieux. Depuis que nous avons pris connaissance des allégations, nous avons pris, et continuons de prendre, des mesures pour nous assurer que toutes les parties concernées soient traitées avec dignité et respect.

Nous savons que nous le devons au Dr Cauthen, à nos joueurs, à notre personnel et à notre communauté. En tant qu'organisation, nous évaluons et affinons continuellement nos processus afin qu'ils reflètent les valeurs et la culture de ce que nous aspirons à être chaque jour.

À cette fin, nous avons décidé de collaborer avec le Dr Cauthen et d'autres experts afin de revoir et d'améliorer nos processus et procédures sur le lieu de travail. Il s'agit d'une opportunité d'apprentissage pour nous, et nous sommes certains qu'elle nous rendra meilleurs à l'avenir", peut-on lire.

Désormais, il sera intéressant de voir comment la carrière de Josh Primo va évoluer. Malgré cette affaire, plusieurs équipes s'intéressent à lui...

Gregg Popovich prend la parole sur l’affaire Josh Primo