Sur la Conférence Est :
"L'Est est ouvert et c'est une chance incroyable. Lors de mes trois premières années dans la ligue, c'était surchargé. Aujourd'hui, il y a quatre ou cinq équipes qui sont en pleine reconstruction, c'est très rare. Chacune de ces équipes doit comprendre où elle en est et être prête à saisir une opportunité d'aller en playoffs si elle se présente. Je prense que notre heure est venue".
Sur son jeu :
"L'an dernier, c'était vraiment la première saison où j'ai commence à comprendre ce que je devais faire. J'ai eu mon problème au genou et ça ne s'est pas très bien passé sur le terrain. Donc cet été je me suis assuré que tout irait bien. J'ai travaillé sur la gestion du rythme d'un match, sur mon corps, mon jump shot et plein d'autres choses. J'améliore plusieurs facettes de mon jeu constamment et je deviens meilleur au fil des jours".
Sur son leadership chez les Wizards :
"J'ai toujours été un leader par l'exemple. Coach Calipari m'a aidé sur le plan vocal en m'expliquant comment parler à certains mecs. Il faut respecter chacun dans le vestiaire et le traiter en homme. C'est un domaine où j'ai beaucoup progressé. Le fait que mes coéquipiers m'aient confié cette tâche sur et hors du terrain m'a bien aidé".
Les autres meneurs de la ligue :
"Meneur, c'est le poste le plus dur en NBA. Tous les soirs quelqu'un vient vous défier, il n'y a jamais de repos. Certains pensent peut-être que c'est plus simple quand vous jouez Kyle Lowry ou Jose Calderon, mais ce sont des joueurs dont on ne parle jamais alors qu'ils sont extrêmement forts. C'est souvent face à eux que les matches sont les plus durs. Il faut leur montrer le même respect qu'à Derrick Rose ou Russell Westbrook".