« Ma panoplie offensive me rend impossible à arrêter. Si vous défendez à plusieurs sur moi, je vais obtenir des lancers ou un panier près du cercle. Si vous reculez, j’ai ce petit tir après un dribble d’hésitation. Et mon favori reste mon tir en pull up au poste. J’ai ajouté plusieurs armes à mon jeu et ça marche très bien. »Le retour de bâton, un jour après, est assez violent. Les Philadelphia Sixers se sont inclinés dès le lendemain, hier soir donc, contre les Toronto Raptors (103-110). Avec un Joel Embiid limité à 25 points (17 rebonds tout de même !) à 6 sur 20 aux tirs. Il a notamment souffert dans le money time – 1 sur 7 aux tirs dans le quatrième quart temps. Ses bourreaux du soir ? Aron Baynes et Chris Boucher. Deux remplaçants des Raptors qui ne sont pas non plus des foudres de guerre (même si ce sont des joueurs précieux !) en défense. Les deux intérieurs adverses ont su gêner Embiid comme il le fallait pour permettre à Toronto de gagner une quatrième victoire de suite. Voilà, ça n’enlève absolument rien au talent d’Embiid, surtout qu’évoquer un seul match ne suffit pas à résumer sa saison, mais c’est juste ironique qu’il sorte une performance de ce type un jour après s’être proclamé inarrêtable. CQFR : Harden et Brooklyn en chaleur, la remontada de NOLA
Joel Embiid se proclame « inarrêtable » puis… se fait découper par Chris Boucher
Joel Embiid a beau être fantastique depuis le début de la saison, il a mordu la poussière lors du match contre les Raptors hier soir.
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