« Il y a des moments où l’on a pris la position et il nous a juste écrasé pour aller marquer. Je m’en fiche que vous fassiez 1,80 et 70 kilos, si vous prenez la position préférentielle et qu’il vous marche dessus, ça reste une faute », pestait l’entraîneur de l’équipe canadienne.Le pivot All-Star n’a pas répondu tout de suite. Il a attendu le Game 2 pour laisser son jeu s’exprimer. Poussé, envoyé au sol à plusieurs reprises, Joel Embiid n’a pas craqué. Il a contenu ses nerfs pour finalement poster 31 points et 11 rebonds. En convertissant notamment 12 de ses 14 lancers-francs. Et c’est seulement à la fin de la partie qu’il s’est entretenu avec Nurse. https://twitter.com/outsidethenba/status/1516235989311705089?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1516235989311705089%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.thescore.com%2Fnba%2Fnews%2F2341423
« C’est un grand coach. Mais je lui ai dit avec respect d’arrêter de pleurnicher sur les coups de sifflet. J’ai vu ce qu’il a dit après le dernier match. Si vous faîtes prise à trois sur quelqu’un tout le match, vous allez forcément l’envoyer sur la ligne des lancers-francs. Les fautes étaient justifiées. Il y aurait même dû en avoir plus. »Les Raptors sont toujours à la recherche de solutions pour ralentir les Sixers et notamment Joel Embiid. Le frustrer en jouant très physique, voire en jouant un peu… salement est une option, à condition que les arbitres laissent faire. Mais pour l’instant, ça ne marche pas. CQFR : Joel Embiid domine, Curry sixième homme de luxe