"Le détail le plus intéressant sur tout cet entraînement et que personne ne sait : je n'ai shooté qu'une seule fois. Une fois. Je dominais, mais je n'ai shooté qu'une fois. Des passes, boum, boum, boum. Des interceptions, des contres... Mais je n'ai shooté qu'une fois".
Autre point qui lui tient à coeur, le démenti de la planification des événements, avec l'interview données sur ESPN quasiment dans la foulée."J'ai été à la fac de Marquette, donc je sais que bous pensez que je suis malin. Mais ce n'est pas ce qui s'est passé. L'interview était programmée depuis trois semaines. On devait parler de la situation. [...] Quand ça s'est su, pour l'entraînement, Rachel m'a dit : 'tu sais que l'on va devoir en parler...' Au fil de l'interview, les choses sont sorties et c'est arrivé comme ça".
Ce qui a donné envie à Jimmy Butler de tout casser durant la séance, ce n'est pas le comportement de ses coéquipiers ou une quelconque colère envers Tom Thibodeau. Butler épargne son ancien coach dans ce podcast. En revanche, une personne qu'il ne nomme pas l'a sommé de s'entraîner et "Jimmy Buckets" n'a pas aimé cette contrainte."Déjà, tu n'as pas à me dire ce que je dois faire ou non, je suis grand. Je voulais jouer avec les remplaçants. Le mec m'a dit non. Je l'ai quand même fait. A partir de là, c'était juste une question de principe. Il a allumé le feu. Sans ça, tout aurait été cool".