« En un jour, tout ce que je connaissais de mon corps a changé. Toute la confiance que j’avais de maintenir ce corps en bonne santé s’était évaporée », se rappelle-t-il. « En me tenant face au miroir, je commençais alors à pleurer. Cela m’a touché pour toujours. »
Au final, le joueur s’en est sorti et a dû apprendre à vivre avec cette épreuve. Cela passait par plusieurs paliers différents à franchir. L’un d’entre eux était le fait d’accepter son nouveau corps.« Avant, je détestais ma cicatrice. Maintenant, j’en ai besoin », explique Green. « J’ai besoin de voir ma cicatrice pour me rappeler ce que j’ai traversé. […] Si la cicatrice est encore là, c’est que je suis toujours vivant. »
Une belle histoire au final pour Jeff Green. Il lui reste encore quelques années à offrir en tant que joueur. Il vient de s’engager avec les Cleveland Cavaliers cet été.