« Quand on le fait jouer en poste 4, on peut prendre de vitesse son défenseur. Il n’y a pas grand-chose à faire à part le trapper. Et quand ils font cela, la plupart du temps, il va y avoir beaucoup de shoots ouverts. On vous défie de venir en aide », a lâché le coach des C’s au Boston Globe.Contre Miami, Jeff Green a scoré la quasi-totalité de cette façon : en attaquant le cercle en tête de raquette et prenant de vitesse les ailiers forts adverses bien trop lents et en s’écartant à trois-points lorsque la raquette était fermée. Mais hier soir, il s’est retrouvé dans une situation inverse, ne parvenant pas à stopper Ryan Anderson, auteur de 21 points, et décisif dans la victoire de New Orleans. Sûrement que le retour de Kevin Garnett hier n’a pas profité à son épanouissement offensif. Apprendre à aligner les bons matches, voilà un facteur important pour Jeff Green et Boston en vue des playoffs.
Après sa perf contre le Heat, Jeff Green a totalement disparu
Jeff Green a connu une soirée très calme hier après ses 43 points contre Miami. Le rythme de croisière est à trouver à l’approche des playoffs.
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