"Dans chaque sport, il y a des joueurs qui sont naturellement doués et instinctifs. Jabari fait partie de ceux-là. Il n'a pas peur du moment présent, il le saisit. Il a encore été excellent ce soir".Steve Alford, le coach des Bruins, n'a pas non plus tari d'éloges sur celui qui a en partie coulé son équipe jeudi, osant une comparaison déjà entendue par le passé.
"Il y a beaucoup de Melo en lui. Il peut étirer son jeu et shooter à trois points, driver jusqu'au panier, ou vous jouer au poste. Il n'y pas beaucoup de gars aussi bien façonnés après 10 ou 11 matches dans leur première année".Malgré la présence de nombreux scouts et de quelques NBAers venus en voisins, Parker n'a pas modifié son jeu ou surjoué. D'un naturel réservé, le futur lottery pick essaye de garder les pieds sur terre et de ne pas se laisser écraser par la hype autour de son cas.
"Je n'en ai vraiment rien à faire qu'il y ait des scouts dans les tribunes. C'était important quand j'étais au lycée et que je voulais convaincre les coaches de fac. Aujourd'hui, je dois uniquement me concentrer sur ce qu'on veut faire avec Duke et sur ce qu'on veut accomplir ensemble cette saison", a-t-il expliqué sur Bleacher Report.Vu la forte probabilité qu'il atterrisse à Milwaukee ou dans l'Utah, on ne peut pas en vouloir à Jabari Parker de profiter de ses derniers mois de compétition universitaire...