« Je ne sais pas comment il peut dire que nous ne sommes pas des rivaux car jusqu’à présent on a eu autant de succès qu’eux », se défendait ainsi le natif d’Indianapolis. « Tout ce que je sais, c’est que nous sommes les champions en titre de la division centrale. Ils doivent d’abord en découdre avec nous. Mais bon, si c’est ce qu’il pense, c’est son droit. »Les Indiana Pacers ont tout de même poussé le Miami Heat dans ses derniers retranchements lors des finales de Conférence. La bande de Paul George a finalement rendu les armes au terme d’une ultime manche perdue. Les Pacers se sont donc renforcés cet été, dans le but de faire tomber Miami. Le banc est nettement plus solide suite aux arrivées de Chris Copeland, C.J. Watson (un ancien joueur des Bulls) et surtout Luis Scola. En bon vétéran, l’Argentin a tempéré le débat :
« Je ne vois rien de négatif dans ce qu’il (Derrick Rose) a dit. Les médias lui ont posé une question, il a simplement répondu. On demande toujours des réponses franches des athlètes, en voici une. On s’en fiche. On va faire tout ce qui est en notre pouvoir pour être l’équipe à battre. Mais on doit le prouver. Indiana était une super équipe l’an passé et on veut faire encore mieux cette saison. On ne devrait même pas regarder ce que disent les autres de nous. »Vu la mentalité de guerrier des joueurs des deux équipes, les quatre oppositions entre les Indiana Pacers et les Chicago Bulls vaudront leur pesant de cacahuètes. Via HOOPSHYPE