« Je dois écouter les médecins parce que je suis jeune et je veux juste jouer. Donc une part de moi veut être compétitif et jouer. Mais je sais qu’on va regarder les données et être sûr que tout va bien. Si j’ai mal, je ne vais pas jouer », a-t-il expliqué dans le NY Daily News.Et si sa situation est comparable à celle de Ricky Rubio, blessé au genou en fin de saison régulière l’année dernière et de retour avec les Wolves il y a quelques semaines, Iman Shumpert préfère avoir comme référence Adrian Peterson. Le running back des Vikings a du gérer une blessure au genou et un nez cassé la même saison mais tous ces pépins physiques ne l'ont pas empêché d'exploser ses records.
« Rubio et moi sommes deux personnes différentes. Si tu regardes dans ce sens, tu vois Rubio puis tu vois un mec comme Adrian Peterson. Tu vois ce que je veux dire ? Chacun a un corps différent. La façon de jouer de chacun est différente. »Shumpert et Rubio n’ont clairement pas le même profil, le Knick étant plus percutant.
« Rubio n’a pas vraiment un jeu où il va essayer de dunker sur tout le monde. C’est plutôt un facilitateur. Je ne pense pas que l’on ait la même intensité dans ce qu’on fait », a expliqué Shumpert.Quelque soit le joueur auquel il est comparé, Iman Shumpert ferait le plus grand bien à la rotation des Knicks actuellement. S’il retrouve son niveau, l’ancien pensionnaire de Georgia Tech, réputé comme fort défenseur, apporterait un regain d’énergie et une touche de jeunesse aux New-Yorkais, déjà privés de Raymond Felton et qui se reposent sur un Jason Kidd à 30 minutes de temps de jeu.