« Je pense qu’essayer de comprendre ce dont le joueur a besoin et ce qui peut s’adapter au mieux à ma culture et à mon style de jeu doit faire partie de l’équation quand on décide de ramener des gars, que cela soit par la draft ou la free agency », explique-t-il.Une vision globale qui porte ses fruits. Qui oserait contester la logique d’un coach détenant tout simplement cinq titres NBA ? Par Alexis Rabuté
Gregg Popovich explique son succès par l’environnement autour des Spurs
Si San Antonio est encore en course pour réaliser une très belle saison, il le doit à son organisation.
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