"J'ai mis un peu de temps à m'adapter. Il faut s'intégrer, faire comprendre aux gens quel type de personne vous êtes. Avec mes coéquipiers, on a dû s'apprivoiser sur et en dehors du terrain. Les gars ont compris que lorsque je m'exprime, ce n'est pas pour être négatif ou méchant. Ce sont des choses dites sous adrénaline et pas forcément de la bonne manière, mais c'est pour aider".Très dur avec certains de ses coéquipiers après les premiers matches, l'ancien joueur des Bobcats a changé d'opinion et est aujourd'hui ravi de côtoyer des joueurs prometteurs comme Jared Sullinger ou Kelly Olynyk.
"L'important lorsque l'on vous demande d'encadrer des joueurs, c'est d'avoir des partenaires réceptifs et qui prennent en compte ce que vous leur dites. Je peux dire que j'ai des coéquipiers géniaux. Ils font de leur mieux, ils écoutent et communiquent".Il reste deux années de contrat à Gerald Wallace à 10 millions de dollars la saison. Ce qui fait tout de même de lui un candidat idéal pour un trade en fin de saison dans l'optique de la reconstruction amorcée par Boston.