"J'adore [Rondo]. Nos discussions sont faites d'amour, de colère, de contradictions, mais Rondo est notre moteur. C'est lui qui nous mène. Nous ne sommes pas d'accord à 100% mais j'ai toujours eu des luttes [verbales] avec la plupart de mes meneurs de jeu."Le coach précise par ailleurs que ses discussions avec Rondo couvrent de nombreux sujets relatifs au basket : le jeu offensif de Kentucky, que faire avec 2 secondes sur l'horloge, etc. Des échanges que Rondo juge lui aussi enrichissants :
"Nos discussions sont bénéfiques puisqu'elles nous permettent de savoir quoi faire pour réussir. La dernière fois, c'était à Milwaukee [le 24 novembre] et c'est vraiment trop loin, il faudrait que ce soit une ou deux fois par semaine. [...] Ce qu'il y a de mieux [avec George Karl] c'est qu'il est très ouvert. Personne ne dicte tout."À défaut d'avoir discuté récemment en tête-à-tête avec son coach, Rondo a pu aborder un sujet important avec DeMarcus Cousins et Rudy Gay la nuit passée, pour savoir comment contribuer au succès de leur équipe même quand ils ont du mal à marquer.