Tony Parker supporteur… de George Hill et des Pacers

Depuis San Antonio, Tony Parker continue de suivre les progrès de son ancien back-up, George Hill, avec qui il est resté en contact.

Tony Parker supporteur… de George Hill et des Pacers
Si, dans la Conférence Ouest, les San Antonio Spurs semblent avoir fait un grand pas vers la finale NBA la donne est toujours indécise dans sa voisine de l'Est où les Indiana Pacers et le Miami Heat sont toujours au coude à coude, une victoire partout. Si George Hill a souvent regretté que les fans d'Indianapolis désertent la salle, il peut compter sur un supporteur de choix derrière sa télévision, à des milliers de kilomètres de là. Tony Parker, ancien mentor du meneur des Pacers, continue de suivre la progression de son ancien back-up :
"J'ai regardé le match en entier (le deuxième match de la série - NDLR). On s'envoie des textos depuis le début des playoffs, j'ai toujours suivi George. C'est comme mon petit frère, donc je lui envoie toujours des messages."
George Hill a fait du chemin depuis son départ des San Antonio Spurs. Échangé le soir de la draft contre Kawhi Leonard en 2011, il a retrouvé sa ville natale pour s'y imposer comme le meneur titulaire, "le général" selon ses coéquipiers. Après une première année difficile, Hill vient de réaliser la meilleure saison de sa carrière. Il s'impose comme l'un des leaders vocaux de la jeune équipe d'Indiana, qui rivalise actuellement avec les champions en titre. Lors du match deux, remporté par les Pacers, George Hill a inscrit 18 points, chipant au passage trois ballons. De quoi impressionner son ancien coéquipier, Tony Parker.
"On a été souvent en contact ces derniers temps. Il me demande des conseils, des trucs comme ça. J'essaye de faire mon job et d'être un bon grand frère. Il joue très bien et je suis très fier de lui."
On imagine que Tony Parker serait ravi de retrouver son ancien protégé en finale NBA. Indiana - San Antonio, une finale qui risquerait de donner de l'urticaire à David Stern... Mais bon ça, Tony Parker et George Hill s'en fichent, ils ont des titres à gagner. Via NBA