"Il était vraiment soft. Je lui ai dit clairement : 'Je n'aime pas ton jeu. Je ne pense pas que tu sois assez bon pour jouer au niveau supérieur ou même à n'importe quel niveau. Je n'ai pas de temps à perdre avec toi".De quoi en décourager plus d'un, comme l'a reconnu celui qui est aujourd'hui senior en NCAA.
"Je ne savais pas comment faire pour jouer avec mon père qui me hurlait dans les oreilles. Je m'effondrais rien qu'en l'entendant, je voulais arrêter".Aujourd'hui, "The Glove" est admiratif de ce qu'a réalisé son fils, annoncé en fin de 1er tour lors de prochaine Draft NBA.
"Tout ce qu'il l'a fait, c'est à mettre à son crédit et il l'a fait à sa propre manière. Les gens disent qu'il a un nom difficile à porter, surtout en venant de la même école que son père. Mais je lui ai dit de faire en sorte de se faire son propre nom".On guettera Junior au mois de juin prochain lorsqu'il montera sur la scène du Barclays Center.