« Gary est un joueur spécial en matière de défi physique et de défense en homme à homme. Il a joué un rôle majeur dans notre différence d’intensité entre le premier et le deuxième match. Il va sur Tatum, sur Brown, il cout, il apporte de la vitesse, il nous facilite la vie, bref, il a été fantastique », confie Kerr.Gary Payton était notamment présent sur le terrain dans le troisième quart-temps, moment où les Warriors ont étouffé l’attaque adverse tout en faisant exploser leur défense pour prendre le large et se diriger tranquillement vers le chemin de la victoire. Il a pris une partie des minutes d’ordinaires réservées à Jordan Poole, en manque de réussite à ce stade de la rencontre. Il a fini avec 7 points à 3 sur 3 aux tirs pour un différentiel de +15.
« Nous sommes tellement chanceux qu’il puisse rejouer. Vous pouvez déjà voir son impact, sa manière de gêner l’attaque adverse et de marquer des points en transition », témoigne Poole.L’imaginer de le retrouver sur un terrain au cours de ces playoffs semblait effectivement bien loin lorsque Payton a été projeté au sol par Dillon Brooks lors du tout premier match du second tour, il y a de ça plusieurs semaines. Le verdict était alors vite tombé : fracture du poignet. Avec un retour purement hypothétique en cas de qualification de Golden State en finales NBA. Mais les Warriors sont bien là et Gary Payton II aussi. https://twitter.com/NBA/status/1533662440319229952 Et ça peut changer la donne. Une finale se joue aussi sur des détails et il influe justement sur tout un tas de petites choses une fois sur un parquet. La combativité sur chaque écran pour ne pas laisser trop d’espace, le sprint pour recouvrir vers un tireur démarqué, les courses en contre-attaque, les rebonds offensifs quand personne ne prête attention, etc. Sa présence renforce sensiblement les chances de succès des Warriors. Smart aphone, Looney tue : Les notes du Game 2