"A la place des Los Angeles Lakers, je considérerais la possibilité de l'envoyer en G-League. Si tu ne comptes pas le faire jouer plus de 20 minutes, la confiance ne va pas revenir. On sait que Lonzo est capable de mettre des lancers. On sait qu'il est capable de finir près du cercle. On sait aussi que ce n'est pas le pire shooteur à 3 points du monde, il était au-dessus de la moyenne à la fac. Qu'ils le laissent prendre confiance contre des joueurs d'un niveau similaire à ceux de l'an dernier. Le match contre Philadelphie, face à Simmons... C'est un autre rookie, qui a certes un an de plus, mais on aurait dit qu'ils n'appartenaient pas à la même ligue".
On n'est pas forcément du même avis que Nick Wright. C'est peut-être une solution un peu extrême, bien que des joueurs comme Rudy Gobert aient goûté à la feu D-League avant d'exploser aux yeux du monde entier. Le faire sortir du banc, à la limite, peut être une alternative et lui ôter un peu de pression. Ball n'a que 19 ans et une seule saison universitaire derrière lui. Les attentes, pour la plupart suscitées par son père, sont sans doute trop élevées pour ce qu'il est capable de faire à l'heure actuelle. Mais rien ne dit qu'il ne connaîtra pas une trajectoire à la Jason Kidd, qui avait lui aussi démarré par des premiers mois maladroits et un poil décevants avant de redresser la barre. Lonzo Ball ne sera pas rookie de l'année, mais ça n'a aucune espèce d'importance. Sortir des 30% en adresse globale, des 50% sur la ligne et des 25% à 3 points est une première étape.The Lakers should consider sending Lonzo to the G-League. @getnickwright explains pic.twitter.com/n9sHFEKd2F
— First Things First (@FTFonFS1) November 16, 2017