« L’expérience passée aide. Cela ne fait pas tout mais cela aide », affirme-t-il. « Quand tu as traversé cela, tu comprends que tu peux revenir dans une série. Cela ne dépend que d’un match. »Nul doute que ces conseils ont joué dans le Game 6 où, dos au mur, les Wizards n’ont pas baissé les bras et ont forcé cette ultime rencontre. C’est également dans ces moments-là qu’on reconnait l’influence, l’importance d’un coach.
« Avant, toutes les défaites c’était la fin du monde et toutes les victoires, c’était comme si nous avions gagné le titre », décrit-il. « Quand nous étions menés 2-0, après que nous ayons gagné le troisième match, on avait l’impression d’avoir remporter le titre. Je me rappelle avoir marché en pensant « Attends, maintenant tu dois battre cette équipe trois fois de plus. »Ce vécu pourrait jouer en faveur de Scott Brooks, notamment face à un Brad Stevens. Le coach des Celtics n’a quasiment aucune expérience en playoffs.