« Nous sommes tous des êtres humains, tout le monde fait des erreurs. J’essaye d’en tirer des leçons et de conserver la confiance de mes partenaires », raconte Schroder. « J’ai été ici quatre ans. Depuis que je suis arrivé à 19 ans, je pense que j’ai montré mes progrès chaque année. J’essaye juste d’être meilleur chaque jour et d’apprendre. »
En tout cas, son image publique en a peut-être souffert. Mais Dennis Schroder peut compter sur le soutien de son coach, Mike Budenholzer. Ce dernier se persuade qu’il faut se servir de cet évènement, le tourner en quelque sorte à son avantage sur certains points.« Évidemment, nous ne voulons pas que nos joueurs ou Dennis se mettent dans ce genre de situation. Il comprend ça et je pense que c’est une bonne opportunité pour lui de grandir », affirme-t-il. « Il a la capacité d’être le leader de l’équipe, il doit alors gagner la confiance de tout le monde. Mais ça fait partie de son évolution, de ce processus. »
Connaissant le mental de gagnant de Schroder, il serait prévisible de le voir se donner à 200% en début de saison. Par contre, ce n’est pas certain que ça suffise à faire gagner une faible équipe d’Atlanta..