"Batum n'a jamais aussi bien joué. Il évolue avec confiance et intelligence, il fait des choses qu'il n'avait jamais fait à Portland ou en équipe de France, et il montre surtout qu'il est un vrai créateur. Mais ça ne me surprend pas. Il a toujours montré qu'il avait le talent pour franchir un palier."L'arrière du Orlando Magic, dont la progression fulgurante fait les titres cette saison, est aussi revenu longuement sur le casse-tête qui attend Vincent Collet pour établir une rotation :
"Le plus dur c'est d'aller au bout du tournoi préolympique mais si on joue les JO, je suis très confiant. L'an dernier, j'étais remplaçant, c'est Vincent Collet qui décide mais s'il le veut, je suis prêt à jouer 30 minutes. On a beaucoup de joueurs qui méritent du temps de jeu. Pas seulement Nicolas et moi, mais aussi Tony Parker, Joakim Noah et Boris Diaw. Et les bons joueurs européens, comme Nando De Colo à Moscou et Thomas Heurtel en Turquie. C'est ça la difficulté de l'équipe nationale : il faut trouver un équilibre. L'Espagne est très douée pour ça : quand vous avez un tel nombre de bons joueurs, certains doivent accepter un rôle mineur et c'est ce qu'on doit trouver."Pour suivre la NBA en France, rendez-vous sur beIN Sports ou via le NBA League Pass (www.nba.tv). Evan Fournier et le Orlando Magic participeront aux Global Games à Londres, où ils affronteront les Toronto Raptors le 14 janvier prochain.