"Cette année était un peu particulière. La Free Agency était tardive et j'étais en plein dans le tournoi olympique. Quand je fais un truc, je le fais à 100%. J'ai dit à mon agent : 'je sais qu'il va y avoir des appels, des choses à gérer, mais je suis à fond dans les JO, donc je ne veux rien entendre'. Je n'ai quasiment parlé à personne avant la deadline. Et au moment de la deadline, il était genre 3h du matin à Tokyo. Donc je dormais, en plus c'était le jour du quart de finale. Donc je ne voulais vraiment rien savoir, j'étais dans mon match. Mais j'ai bien aiguillé mon agent, par rapport à ce que je cherchais au niveau de mon rôle, de l'argent, de tout. Dans tous les cas, il gérait les appels avec les équipes donc il avait les informations. Le jour d'avant, il m'a dit ce qu'il pensait obtenir. Donc à ce moment, c'était simple : 'tu me connais, tu sais ce que je veux, où je veux jouer. Si ça fonctionne, tu m'envoies un message le matin et comme ça je vois mes options au matin'. Et à mon réveil, nous avons choisi les Knicks. Juste après, il y a eu un appel avec Tom Thibodeau, Leon Rose, Scott Perry. Les choses ont été faciles pour moi car je n'ai quasiment rien eu à faire", a raconté Evan Fournier pour le podcast KnicksFanTV.Par le passé, Evan Fournier n'avait jamais caché son désir d'évoluer chez les Knicks. Et l'intérêt était mutuel sur cette FA. Avec en plus un rôle important et un gros chèque à la clé. Autant dire que les discussions ont donc été simples. Même depuis Tokyo. Evan Fournier veut vaincre la malédiction du numéro 13 chez les Knicks
Evan Fournier dévoile les coulisses de sa signature particulière aux Knicks
Signé par les New York Knicks cet été, l'arrière Evan Fournier a connu une Free Agency particulière durant les Jeux Olympiques de Tokyo.
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