« Ce n’est pas moi qui prendrai la décision, ce sont les médecins de l’équipe. Je vais jouer avec de la douleur probablement 95% de la saison, et ce chaque année. Tant qu’il pense qu’elle ne me pose pas de problème sur le long terme, je m’en fiche, je jouerai. »
Encore faut-il donc que le staff médical considère ses douleurs comme n’étant pas dangereuses à terme. Or, elles semblent plus sérieuses que le problème de dos qu’avait eu Kristaps Porzingis il y a peu.« S’ils ne me donnent pas le feu vert, il n’y a rien que je puisse y faire. Mais je veux jouer lundi, bien sûr », explique Enes Kanter.
Face aux Atlanta Hawks et aux Houston Rockets, les New York Knicks ont été dominés au rebond. Et c’était encore pire au rebond offensif, avec 5 et 6 prises, là où Enes Kanter en prend à lui seul 3,7 par match. Surtout que pendant ce temps, la production de Willy Hernangomez - au rebond, en défense ou au scoring – n’était clairement pas rassurante. Raison de plus pour ne pas prendre de risque sur le lon terme avec la santé de l’enforcer des Knicks et garde du corps de Frank Ntilikina.