« Tout d’abord, le jeu est complètement différent par rapport à celui d’auparavant », rappelle-t-il. « Aujourd’hui, si tu ne peux pas tirer à trois points, cela t’handicape sur le terrain. Ce n’était pas le cas avant. »
Les observateurs sont tentés de comparer les deux équipes car elles jouent toutes les deux un basket flamboyant, rapide et offensif. Sauf qu’il n’y a pas un Kareem Abdul-Jabbar injouable sur demi terrain à Golden State. Tout comme il aurait été impossible aux Lakers de jouer avec un cinq aussi small ball sans se faire marcher dessus.« Pour moi, cela n’a aucun sens car on parle de deux jeux vraiment différents. », tempère Draymond Green. « Ils étaient très bons à leur époque, nous sommes très bons dans la notre. Respectez cela. »
De toute façon, il n’y a aucune manière de vérifier qui a raison. Il faudra simplement faire le point le jour où Golden State sera en fin de cycle. C'est loin d’être le cas pour l'instant.