« Je me vois jouer comme lui et aider l’équipe s’il a des problèmes de fautes ou bien une technique », confie-t-il. « Je peux entrer. Heureusement, en l’observant à l’entraînement, je peux commencer à reproduire ce qu’il fait. »
Le 38e choix de la dernière draft n’envisage pas encore de le concurrencer, évidemment. Par contre, son investissement plait à Draymond Green.« Il veut apprendre et travailler. Quand un gars veut ça, c’est très rare qu’il échoue. J’ai hâte de passer encore plus de temps avec lui », déclare-t-il. « Il va bien s’intégrer. Une chose qui va être bien avec lui, c’est le spacing et savoir où se placer sur le terrain. Il y a des choses qu’on ne peut pas enseigner. »
Malgré son potentiel intéressant, Bell ne devrait pas avoir non plus un énorme temps de jeu. Il joue tout de même chez le champion en titre. Mais il garde tout de même une certaine ambition lorsqu’il travaille avec Green.« C’était vraiment cool qu’il vienne ainsi vers moi et qu’il me prenne sous son aile », avoue-t-il. « Je veux me fixer des objectifs élevés. Mais je n’ai pas d’objectifs statistiques, un certain nombre de points à marquer ou de rebonds à prendre. Je veux juste jouer dur à chaque match. »
En ce qui concerne la dureté et le sacrifice, Jordan Bell dispose d’un très bon mentor.