"Le gars pour qui je ne dépenserai pas mon énergie à le chambrer ? Tim Duncan. J'ai voulu lui dire de la merde quand j'étais un rookie. J'avais l'impression qu'un arbre me regardait. Zéro expression. Je me suis dit, OK, c'est fini. Je ne lui ai plus jamais mal parlé. Après ça, à chaque fois qu'il tombait, j'étais le premier à le relever. Comme si j'étais l'un de ses coéquipiers", raconte Green.
"J'ai aussi voulu chambrer Kobe lors de ma saison sophomore. Mark Jackson m'avait mis en défense sur lui pour un game winner potentiel. J'ai réussi le stop et j'ai crié 'yeah, j'ai bloqué cette merde' Il m'a regardé comme si j'étais fou et m'a dit 'ce tir raté n'a rien à voir avec toi. Va t’asseoir.' J'ai dit 'OK, je sors.'"
Draymond Green a le mérite d'avoir de l'auto-dérision. Il est incroyablement agaçant pour ses adversaires mais c'est aussi ce qui fait sa force.