« Cela ne rend toujours pas justice à l’impact qu’il a eu », affirme-t-il. « Je ne serai pas satisfait tant qu’il n’entrera pas au Hall of Fame. C’est là où il va aller. Je vais juste m’asseoir et apprécier quand cela va arriver. »
La mesure n’a jamais été la plus grande de ses qualités. Mais cette sortie permet de montrer le lien très étroit qui unit Green à son general manager. Car ce qui s’est développé entre les deux ressemble à autre chose qu'un simple rapport professionnel.« C’est spécial car il est bien plus que cela pour moi », confie-t-il. « Si je devais classer ce qu’il représente dans ma vie, le general manager et le président viendraient probablement en dernier. C’est un coach dans la vie, un grand frère. Il est tout ça pour moi. »
Draymond Green doit forcément beaucoup de choses à Bob Myers. Ce dernier est celui qui a cru en ce joueur méconnu de Michigan State, sélectionné seulement à la 35e place en 2012.