« Il fallait que je trouve un moyen d'inscrire mes points », a expliqué Collins au Boston Herald. « Je voulais continuer d'être un scoreur qui valait 20 points. J'ai fini par trouver la recette : quatre shoots, quatre layups et quatre lancers-francs. Il fallait que je fasse ce que je savais faire. »Même si il attend beaucoup de son poulain, le coach ne veut pas mettre de pression supplémentaire sur les épaules d'un joueur qui s'en met déjà beaucoup lui-même.
« Si seulement j'avais une poudre magique, une baguette magique ou quelque chose comme ça pour faire en sorte qu'il soit plus relax et qu'il se mette moins de pression. Il veut tout le temps bien faire. Je voudrais qu'il comprenne qu'une mauvaise action, ce n'est pas la fin du monde. Trois shoots ratés, ce n'est pas la fin du monde, next play. [..] Je voudrais juste qu'il fasse les choses qu'il sait bien faire », a-t-il conclu. « Prendre des rebonds, pousser la balle en contre-attaque, créer du jeu et défendre. [...] Evan veut être excellent et nous voulons qu'il soit excellent. »En cinq matches de présaison Turner a tourné à 9 points, 5,8 rebonds et 3 passes en 27 minutes de temps de jeu soit quasiment les mêmes stats que la saison dernière en 26 minutes, pas très encourageant...