« Si Larry veut revenir, je pars. Sinon, je ne sais pas ce que je ferai. »Donnie Walsh a été l’homme providentiel lors de son passage à New York de 2008 à 2011 en tant que General Manager. Celui qui a fermé le robinet de la honte. Il a dégraissé la masse salariale en se séparant des contrats juteux et inutiles des Mardy Collins, Eddy Curry et Al Harrington (etc etc etc) les envoyant paître sous d’autres cieux. Il a ensuite reconstruit avec l’arrivée d’Amar’e Stoudemire puis a tenté le pari Carmelo Anthony, qui se révèle payant cette année. Et ce dimanche, il était de retour dans son antre, mais en tant que Président des opérations basket des Pacers cette fois-ci. Et il a pu observer un Carmelo Anthony en grande forme physique en train de briser leurs rêves de seconde place à l’Est.
« Il est en pleine forme physique. C’est la seule chose qu’il devait améliorer. »Si les deux équipes passent le premier tour, elles se retrouveront au second. Quant à une éventuelle finale de conférence, il pense que les Knicks auraient de sérieuses chances de vaincre le Miami Heat sur une série.
« Ils leur donneraient du fil à retordre. Miami ou New York, je ne saurai choisir. »Et Indiana dans tout ça ?
« J'aime la façon dont ils jouent (Knicks). J'aime la façon dont nous jouons. Mais je pense qu'ils ont une vraie chance (de battre le Heat). »