« Cela fait trois ans que je possède l'équipe et je comprends vraiment mieux quelles sont les responsabilités d'un propriétaire désormais. Il s'avère que la gestion d'une franchise et le coaching sont deux énormes jobs très différents », a souligné le proprio des Clips tout en précisant que Doc Rivers aurait toujours son mot à dire dans les décisions prises par l'équipe dirigeante de la franchise.
« Et le fait est qu'une seule personne ne peut pas se concentrer d'une manière efficace sur les deux et y apporter l'attention nécessaire. Pour être aussis bons que possible, pour être champions, nous avons besoin de deux personnes solide qui construisent l'équipe. Nous avons besoin de discussions et de débats saisns entre ces deux personnalités fortes et indépendantes. La relation qu'un joueur doit avoir avec un coach et le front office est différente. Doc a confié tout ce qui ne concernait pas le coaching à Lawrence l'an dernier et il a fait un travail fantastique. Je veux qu'ils puissent tous les deux continuer à creuser et à faire ce qu'ils font de mieux. Lawrence a été excellent dans ce rôle et cela nous a incité à continuer dans cette voie. »
S'il n'a désormais plus les pleins pouvoirs aux Clippers, Doc Rivers conserve en revanche son contrat de 55 millions de dollars sur 5 ans signé en 2014 à l'arrivée du milliardaire à la tête de la franchise. A noter qu'ils ne sont désormais plus que trois en NBA à posséder une double casquette de coach-président : Gregg Popovich, aux Spurs, Tom Thibodeau, à Minnesota et Stan Van Gundy, à Detroit.