Doc Rivers justifie le comportement de DeAndre Jordan

Alors que DeAndre Jordan est très critiqué pour son attitude avec Mark Cuban, Doc Rivers a bien évidemment défendu son intérieur dans les médias.

Doc Rivers justifie le comportement de DeAndre Jordan
Sur le fond, DeAndre Jordan n'a pas grand-chose à se reprocher au sujet de sa volte-face. Il a donné son accord verbal pour rejoindre les Dallas Mavericks, mais il avait totalement le droit de revenir sur sa décision et de rester aux Los Angeles Clippers puisqu'il n'avait pas signé de contrat avec la franchise texane. Mais sur la forme tout de même, c'est sacrément limite... Outre le fait que DeAndre Jordan n'a donc pas de parole, c'est surtout son attitude qui dérange aux Etats-Unis. Car il faut savoir que l'intérieur a carrément refusé de rencontrer ou même de parler au téléphone avec Mark Cuban, le propriétaire des Dallas Mavericks. Par courtoisie et respect,  DeAndre Jordan aurait tout de même pu annoncer la nouvelle en face-à-face au patron de la franchise texane. Et bien sûr, ce comportement fait jaser dans les médias américains. Mais heureusement pour le pivot, il peut compter sur le soutien de son entraîneur Doc Rivers.
"En générale, quand les free agents ont pris une décision, ce sont les agents qui appellent. DeAndre a été avec nous pendant 7 ans et quand il a décidé de partir, son agent m’a appelé. Certains choisissent d’appeler eux-mêmes et d’autres non. C’est pour cela que vous avez des représentants, pour faire ce boulot pour vous. Cet été, j’ai eu beaucoup de refus et je n’ai pas eu le moindre coup de fil d’un joueur", a tenté de justifier Doc Rivers à CBS Sports.
Il est bien gentil Doc Rivers, mais quand tu t'engages personnellement à rejoindre une équipe, si tu changes d'avis (et c'est déjà limite) la moindre des choses c'est tout de même de montrer un peu de respect à cette franchise en expliquant ton choix en face-à-face, ou au moins en répondant à l'un des coups de fil de Cuban. Même si DeAndre Jordan a totalement le droit d'agir de cette façon, son comportement est difficilement justifiable.