Comment Luka Doncic a gagné le respect de Dirk Nowitzki

Au moment de l'arrivée de Luka Doncic aux Dallas Mavericks, Dirk Nowitzki l'a immédiatement testé pour voir le caractère du prodige.

Comment Luka Doncic a gagné le respect de Dirk Nowitzki
Luka Doncic fait l'unanimité aux Dallas Mavericks. Mais à son arrivée en 2018, le meneur de jeu a dû prouver sa valeur. Et Dirk Nowitzki, star de la franchise texane à l'époque, a immédiatement testé le Slovène. En effet, même si le talent du prodige était évident après ses exploits avec le Real Madrid, il devait s'imposer en NBA. Dès le premier entraînement des Mavs, l'Allemand a donc voulu connaître la personnalité de son nouveau coéquipier.
"Le premier jour, il a joué un peu, et je me souviens qu'il était déjà, genre, super cool et qu'il faisait des passes. Je l'ai regardé, je devais le tester un peu, non ? Donc, j'ai fait une faute assez dure sur lui une fois et ensuite il était sur la ligne des lancers francs ... Et je me suis dit que j'avais un petit quelque chose pour ce jeune gars. Alors, je l'ai un peu cherché. Je lui ai dit : 'il n'y a aucune chance que tu réussisses ces deux lancers francs'. Et il m'a littéralement souri, n'a rien dit et a réussi ces deux lancers francs. Je pense donc qu'il a gagné le respect tout de suite par son sang-froid. Mais aussi par sa maturité en tant que joueur de 19-20 ans, par sa façon de voir le terrain, de lire les situations de pick-and-roll. Je veux dire, il est déjà tellement en avance sur son temps et sur son âge que c'est vraiment effrayant. Nous avons été surpris à la minute où nous avons vu ce gamin sur le parquet à Dallas", a raconté Dirk Nowitzki pour le podcast de Bill Simmons.
Très rapidement, Luka Doncic s'est montré à la hauteur des attentes à Dallas. Et désormais, il incarne un leader particulièrement fiable au sein d'une équipe qualifiée pour les Playoffs. A lui d'impressionner encore son monde, et Dirk Nowitzki, lors du premier tour face aux Los Angeles Clippers. Quand Dirk Nowitzki, Steve Nash et Mike Finley formaient un « Big Three » de rêve à Dallas