« Ça me rend fier de voir ces jeunes joueurs prendre le contrôle de la ligue. Ils ne sont pas seulement en NBA, ce sont des franchise players, des candidats au MVP. C’est génial de voir ça. Si j’ai pu aider, motiver ou inspirer certains d’entre eux, alors c’est un honneur pour moi d’avoir contribué », remarque Dirk Nowitzki.Lui-même se souvient du moment où il a quitté son pays natal pour rejoindre les Etats-Unis à 19 ans. Un moment difficile et douloureux. Heureusement, il avait pu compter sur le soutien de Detlef Schrempf, son compatriote, aîné débarqué avant lui et déjà trois fois All-Star.
« Il voulait m’aider et me voir briller. Il a été tellement gentil avec moi. C’était comme un mentor et ça avait beaucoup compté pour moi. Ça m’a servi de leçon pour le futur : si je dois aider un joueur étranger, je ferai comme lui. »Luka Doncic aurait bien besoin de ses conseils pour mener au sommet une équipe intéressante mais moins armée que d’autres armadas de la Conférence Ouest, comme l’a fait Nowitzki en 2011.