"Je ne sais pas si gagner est aussi important que d'avoir des followers de nos jours. J'avoue qu'il y a vingt ans, les gens n'étaient pas autant sur leur téléphone. Avant quand on gagnait on était content et on écoutait de la musique. Quand on perdait on était énervé. Mais on se parlait en attendant le discours du coach. Maintenant, il y a quinze gars sur leur téléphone", explique l'Allemand.
C'est effectivement un mal d'époque. Certainement pas le pire. Mais c'est tout de même l'une des addictions les moins mises en avant - business oblige.Dirk Nowitzki : « Les jeunes sont plus concernés par les réseaux que par la gagne »
Dirk Nowitzki regrette que les joueurs NBA soient autant accros à leur téléphone.
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