« Les finances ne vont pas nous empêcher de resigner Avery, peu importe ce que ça coûte », assure Stan Van Gundy. « Si nous sommes dans une situation où nous voulons garder Avery et qu’il veut être là, nous pourrons le conserver. »
L’aspect financier ne devrait donc pas poser problème. On sait que c’est l’une des raisons qui a poussé Boston à se séparer de Bradley. À Detroit, en plus d’avoir économisé de l’argent en laissant KCP signer aux Lakers, la franchise est prête à faire des efforts. Quitte à payer la luxury tax.« Dans une bonne situation avec les bonnes personnes, Tom (Gores, le propriétaire) est davantage enclin à payer la taxe », affirme Van Gundy. « Je pense que la moitié de la ligue va payer la taxe cette année. Tom n’y est pas opposé. »
Tout semble donc réuni pour voir Avery Bradley rester aux Pistons sur le long terme. Par contre, c’est désormais à lui de réaliser une grosse saison pour obtenir le jackpot l’été prochain.