« J’ai un point de vue particulier. J’ai été joueur, j’ai connu ce scénario et j'aurais définitivement demandé l'avis du joueur [...] A l’époque, nous étions dans un processus de rééducation et je m’entraînais deux heures par jours. C’était ce qui me dérangeait le plus. Je m’entraînais deux heures intensivement et quand le match arrivait, ils me donnaient seulement une fenêtre de sept minutes de jeu par mi-temps. »Aujourd'hui dirigeant, Jordan reconnaît toutefois qu'il peut comprendre l'avis de son ancien patron. Même si, selon lui, le retour de blessure doit s'opérer en fonction du feeling du joueur, à condition que celui-ci mette toutes les chances de son côté pour revenir au meilleur niveau et dans le meilleur état de forme possible.
« Reinsdorf avait forcément une idée différente des choses. Là où je suis maintenant (propriétaire des Bobcats), je comprends les choses un peu différemment, mais si un joueur veut jouer et fait tout ce qu’il faut pour… »Si le risque a été payant une fois, pas sûr néanmoins que les dirigeants de Windy City soit prêts à retenter le pari.