« J’adore New York mais je pense que l’on aurait eu plus de confort en vivant à Dallas. C’est plus facile. Je ne dis pas que New York n’est pas confortable mais ça ne l’est pas autant que Dallas. »Père de quatre enfants, Williams avait entamé les recherches de maison à New York et Dallas avant d’annoncer sa décision l’été dernier.
« J’étais un peu stressé, je cherchais à New York et à Dallas. C’était plus facile de trouver à Dallas. J’en ai trouvé une en deux jours. A New York, je cherchais depuis deux ans. »Mais les dirigeants des Mavericks n’ont pas fait suffisamment d’efforts pour attirer D-Will dans leurs filets et l’argument « family first » n’a pas suffi à lui seul. D’autant plus que sa femme lui a laissé la liberté de choisir pour lui avant tout.
« Amy (NDLR : la femme de Deron Williams) était heureuse quoiqu’il arrive. Elle voulait juste que je prenne une décision basée sur ce que je voulais pour mon basket. Elle est heureuse quel que soit l’endroit. »Et puis, vivre à New York a tout de même ses avantages :
« Tout ce que tu veux, tu l’as ici. Les restos, les trucs pour enfants. Il y a des parcs à chaque coin de rue. Des parcs pour chiens aussi. Il y a tout ce qu’il faut. Ils peuvent faire tellement de choses. »S’il aurait pu vivre dans le Texas, d’où il est originaire, Deron Wiliams ne regrette pas d’avoir choisi Brooklyn et New York pour les cinq années à venir. Et une victoire au premier tour des playoffs face aux Bulls de Chicago pourrait renforcer cette idée