"Aucun [ne peut rivaliser avec lui]", résume-t-il en un mot.Certains vont s'empresser de tirer à boulets rouges sur le pivot des Kings pour cette sortie peut-être mal calculée. Mais dans le fond, DMC n'est pas loin du compte. Jetons un œil aux Big Men présents pour le mini-camp de Team USA. On retrouve donc Anthony Davis, Greg Monroe, Derrick Favors, Larry Sanders, DeAndre Jordan et Andre Drummond. Les trois derniers cités sont avant-tout des options défensives, encore limités en attaque (Drummond est même très frustre mais est aussi très jeune). Favors et Monroe sont un peu plus développés mais n'ont ni le niveau, ni le potentiel de DeMarcus Cousins. Quant à Anthony Davis, il est effectivement un gros défenseur, pas mauvais à mi-distance et son jeu en attaque ne cesse d'évoluer. Autrement dit, le Pelican est le seul à réellement concurrencer le King parmi les jeunes Big Men de la ligue. Passons à la fiche de DeMarcus. Il peut scorer : dos au panier, en puissance, avec touché, à mi-distance, peut faire la passe (on sous-estime ses qualités de passeur), est athlétique, physique, grand. Bref le package intégral.
"Les grands avec ces qualités sont fait pour le basket FIBA", résume son ancien coach, John Calipari, à ESPN.Jusqu'à présent, DMC a manqué de maturité. L'arrivée des nouveaux propriétaires à Sacramento marque une nouvelle ère pour sa franchise mais aussi pou lui-même. Cousins est prêt à exploser. Et si jamais un tel événement se produit, personne ne pourra le concurrencer au sein du team USA.