Débat BS : Et le meilleur joueur "étranger" est...

Découvrez qui les lecteurs de BS ont élu comme étant le meilleur joueur étranger de tous les temps !

En ce dimanche 23 novembre, on vous a sollicité via les réseaux sociaux ou encore via les commentaires sur Basket Session, pour savoir qui était le meilleur joueur "étranger" de l'histoire de la NBA. Grâce à vos votes (et on vous en remercie), voici votre classement :

1) Hakeem Olajuwon

Poste : Pivot Palmarès : Double champion NBA, 2 fois MVP des Finales, MVP de la saison régulière, 6 fois All-NBA First Team, 2 fois défenseur de l'année, 12 sélections au All-Star Game. Bilan chiffré : 26,946 points, 13,748 rebonds, 3830 contres, 3,058 passes décisives, 2,162 interceptions. Les lecteurs de BS ont fait dans le grand classique en choisissant Hakeem Olajuwon. Que dire sur "The Dream" ? Il a été l'un des joueurs les plus dominants de sa génération et il est assurément l'un des meilleurs pivots de l'histoire. Même si son côté naturalisé américain (et son titre de champion olympique en 1996 avec Team USA) a dérangé certains votants, il a été nommé meilleur joueur étranger à la grande majorité. Érigé comme le meilleur pivot de tous les temps par Michael Jordan, l'ancien intérieur des Houston Rockets a marqué la NBA de son empreinte avec son fameux move. Même s'il a été récemment dépassé par Dirk Nowitzki au niveau du scoring pour la première place des joueurs "étrangers", il restera dans l'histoire de la NBA notamment pour son record aux contres (3830). Un très grand joueur salué par vos votes aujourd'hui. [youtube hd="0"]https://www.youtube.com/watch?v=APQt1Jb6hpA[/youtube]

2) Dirk Nowitzki

Poste : Ailier-fort Palmarès : Champion NBA, MVP des Finales, MVP de la saison régulière, 4 fois All-NBA First Team, 12 sélections au All-Star Game. Bilan chiffré : 27,049 points, 9,666 rebonds, 3,170 passes décisives, 1103 contres, 1,042 interceptions. Même si Dirk Nowitzki a dépassé Hakeem Olajuwon au niveau du scoring la semaine dernière, il n'est pas (encore ?) le meilleur joueur étranger de l'histoire pour vous. En effet, le géant Allemand est "seulement" arrivé deuxième de vos votes, mais pourquoi ? La faute à un palmarès un peu moins riche que l'ancienne gloire des Rockets et aussi à un jeu trop unidimensionnel. "The Dream" avait cette formidable capacité à avoir un impact des deux côtés du parquet alors que l'intérieur des Dallas Mavericks n'a jamais brillé dans les tâches obscures et il se "contente" de s'occuper - brillamment - de la gestion de l'attaque. Personne n'oubliera jamais ses superbes performances en 2007 ou encore sa facilité lors du titre des Texans en 2011, Dirk Nowitzki restera l'un des plus grands joueurs de l'histoire de la NBA, mais un poil en retrait par rapport à Hakeem Olajuwon. [youtube hd="0"]https://www.youtube.com/watch?v=1cM3JDKcesk[/youtube]

3) Tony Parker

Poste : Meneur Palmarès : 4 fois champion NBA, MVP des Finales, 3 fois All-NBA second Team, 6 sélections au All-Star Game. Bilan chiffré : 16,248 points, 5,696 passes décisives, 2,821 rebonds, 879 interceptions, 75 contres. Malgré sa domination d'un point de vue des titres gagnés, Tony Parker arrive troisième de votre classement. Au sein du collectif des San Antonio Spurs, le meneur français brille moins individuellement que ses deux principaux concurrents, mais il est clairement dans la même catégorie que les deux légendes citées précédemment. Car oui, il ne faut pas avoir peur de le dire sous prétexte qu'il est français, Tony Parker est l'un des meilleurs joueurs "étrangers" de l'histoire de la NBA par son palmarès et grâce à son influence sur la dynastie des Spurs. Individuellement, c'est évident qu'il n'est pas aussi décisif qu'Olajuwon ou Nowitzki, mais comment ne pas le mettre dans cette course alors qu'il a remporté 4 titres de champion ? C'est sûrement pour cette raison, que vous avez décidé de placer notre TP national à la 3ème place, et on est bien d'accord avec vous. [youtube hd="0"]https://www.youtube.com/watch?v=92622dtH2vk[/youtube] Mentions : Drazen Petrovic, Steve Nash, Pau Gasol, Manu Ginobili.

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