"Je leur ai donné assez de temps pour faire les systèmes qu'ils devaient faire. Maintenant je vais juste prendre le contrôle. Le moment est venu de prendre le contrôler sans regarder en arrière", déclare le pivot originaire des Bahamas.
Incroyablement encourageant pour le staff des Suns qui cherche déjà à créer un groupe cohérent. On est inquiet pour cette franchise. Le propriétaire est un c** et c'est un euphémisme. Il y a un bon coach, Igor Kokoskov, et des jeunes talents. Mais ils ont beau être doués, ils ont l'air d'avoir des caractères vraiment spéciaux - et là c'est pour rester poli. De Josh Jackson à Devin Booker en passant par Deandre Ayton. D'ailleurs, les deux derniers nommés, censés incarner l'avenir de l'organisation, se sont déjà pris le bec cette saison. Si cette équipe continue de perdre sans arrêt, année après année, malgré le fait qu'elle accumule les picks très bien placés et donc les prospects d'avenir, ce n'est pas un hasard. Aucun d'entre eux n'a l'air prêt à assumer un statut de leader. Pour en revenir à Ayton qui veut prendre le contrôle, c'est tout le problème d'une équipe d'abord axée sur son pivot (et ça s'applique même pour les Sixers de notre chouchou Joel Embiid) : le gaver de ballons dos au panier est synonyme d'un jeu ralenti, plus prévisible, avec moins de mouvements et donc moins d'occasions pour les joueurs de se mettre en rythme. Et c'est exactement pour ça que nous avions mis Luka Doncic tout en haut de toutes nos prévisions de draft.Lassé d’attendre, Deandre Ayton veut devenir le boss des Suns
Le rookie Deandre Ayton, premier choix de la draft 2018, a décidé que c'était son tour de briller aux Phoenix Suns. Il en a ras le bol.
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