"Nous savons que c'est important pour nous, mais aussi pour lui, de continuer de progresser, de se développer afin de gagner un titre. Donc quand nous avons parler sur cette intersaison, nous étions concentrés sur le fait de construire cette équipe. Pour nous, malheureusement, nous sommes dans cette situation (avec Ayton, ndlr). Aucun accord. Nous n'avons ainsi pas vraiment eu de négociations. Vous parlez de discussions, c'était 5 ans pour le max comme ses autres pairs, comme les anciens #1 picks. Voici le début et la fin des discussions. Moins que le max sur 5 ans, il ne s'agissait pas d'une option, il ne fallait même pas en parler. Il s'agit d'une évidence. Ils (les médias, ndlr) parlent de possibilités sur des contrats de trois ou quatre ans. Elles sont réelles", a fait savoir Jones.Problème, cette intervention n'a pas été du goût des agents d'Ayton ! Ainsi, ils ont tenu à réaliser une mise au point auprès de The Athletic. Tout d'abord, une proposition max, sur 3 ou 4 ans, n'a jamais été proposée par les Suns. Ensuite, du début à la fin, les dirigeants ont fait comprendre que Sarver refusait de donner le max à leur client. Relancé, Jones a répondu aux représentants du pivot.
"Ils savent qu'une offre max, sur 3 ou 4 ans, ne représentait pas une option pour eux. Au final, nous voulons la même chose, et nous trouverons un moyen d'y arriver. Il veut être ici. Nous voulons qu'il soit là. Nous sommes à fond sur son développement. C'est la même chose que le premier jour. Cela n'a pas changé", a-t-il ainsi assuré.Sur ce dossier, les Suns ont clairement pris un risque. La saison dernière, Deandre Ayton a été l'un des grands artisans du parcours superbe de cette équipe. Et à 23 ans, il incarne un jeune talent particulièrement apprécié en NBA. L'été prochain, il va encore réclamer le maximum. Il s'agit d'une certitude. Et cette fois-ci, Phoenix, même en gardant la main, aura donc une vraie pression. Sexton, Bridges, Ayton : les principaux « oubliés » de la deadline