"C'est du business, c'est comme ça que je le vois", raconte-t-il. Beaucoup de choses se passent dans cette ligue et peu importe que vous soyez d'accord ou pas, au final vous réalisez que ce n'est que du business."
Pour l'instant, l'ancien d'Ohio State est une semi-déception car même s'il a pu briller par séquences (15,6 pts), il reste très maladroit (40,5% lors de saison rookie, 41% l'an dernier) et son ratio passes décisives/balles perdues (4 pour 2,6) n'est clairement pas au niveau pour un joueur de son potentiel. Mais qu'importe, c'est un nouveau départ pour lui et il est emballé par ce challenge."J'étais très excité (lorsqu'il a appris son trade). J'étais excité d'avoir une nouvelle opportunité mais ça m'a mis en garde. Vous voyez des gars qui sont échangés et vous ne pensez jamais que ce sera vous jusqu'à ce que vous le soyez. C'est une nouvelle étape pour moi."
Son ancien président, Magic Johnson, n'avait d'ailleurs pas hésité à le tacler , et notamment son leadership, clamant que les Lakers avaient besoin d'un leader au moment où il a drafté Ball. Des propos que D'Angelo Russell a déjà mis loin dans son esprit."C'est comme ça. Ce sont les Lakers, nous sommes les Nets. Il n'ont aucune emprise sur nous et nous n'avons aucune emprise sur eux. Je n'aime pas trop revenir en arrière et parler de ça."