Damian Lillard sur Tony Parker :
"Je ne le trouve pas sous-estimé, c'est juste qu'il y a plein de bons meneurs de jeu dans la ligue. Tony Parker fait partie des meilleurs à son poste. Il est très fort près du cercle, il est capable de finir ses actions facilement. Surtout c'est un gagnant, il joue dans une équipe qui remporte 60 matches par saisons, il a déjà été champion trois fois...j'ai beaucoup de respect pour lui."
Damian Lillard sur Nicolas Batum :
"Je m'entendais bien avec lui. Sur le terrain, c'était un joueur très utile pour moi. Il peut faire jouer les autres, c'est un sacré playmaker, surtout pour un mec de sa taille. Les joueurs comme lui enlèvent beaucoup de pression des épaules de leur meneur de jeu."
Damian Lillard sur les playoffs
"Je pense que Miami va se qualifier pour les finales en battant Indiana en six manches. Et je pense aussi qu'ils gagneront face aux Spurs, également en six manches, 4-2. Ce sera vraiment dur de vaincre le Heat... LeBron James est impressionnant. Tout le monde lui est tombé dessus lorsqu'ils ont perdu la finale (en 2011, face à Dallas - NDLR) mais il est de plus en plus incroyable." "Stephen Curry est le joueur qui m'a le plus impressionné pendant les playoffs. Personne ne s'attendait à de telles performances de sa part. Il a totalement porté son équipe malgré ses blessures à la cheville et en plus il disputait seulement ses premiers playoffs..."
Son programme de l'été
"J'aime bien rester chez moi, à la maison donc je ne vais pas bouger d'ici. Je n'ai pas encore de programme bien précis mais j'ai beaucoup de boulot devant moi cet été. Je ne dois pas progresser dans un secteur particulier mais plutôt l'ensemble de mon jeu : ma défense, la finition dans la peinture, les flotteurs, mon jeu de passe sur pick-and-roll, etc. Je pense que je peux être l'un des meilleurs meneurs de jeu dans les années à venir mais pour ça tout mon jeu doit évoluer."
Ses premières années basket jusqu'à la NBA
"Chez moi on a toujours fait beaucoup de sport, du foot, du basket. Dès que j'ai commencé à jouer en équipe j'ai tout de suite voulu gagner des matches et progresser. J'étais fan d'Allen Iverson et je jouais avec des mecs plus vieux. Ça joué un grand rôle dans ma progression. Je voulais toujours franchir les étapes, les unes après les autres. Je n'ai pas arrêté d'avoir cette mentalité et j'ai persévéré jusqu'en NBA."
L'université :
"C'était vraiment bénéfique pour moi de rester quatre saisons à l'université. J'avais besoin de ça afin d'être prêt à jouer en NBA, je devais grandir en restant à la fac. Il y a des mecs qui sont prêts au bout de une ou deux saisons mais je ne fais pas partie de ce genre de gars."