« Travailler avec Steve Nash m’a aidé à ralentir davantage le jeu, à mieux comprendre le pick and roll et la manière dont réfléchissent les meneurs », a raconté CJ McCollum à The Oregonian. « Il m’a enseigné comment manipuler son adversaire avec le regard, utiliser son corps et comment faire ses propres lectures. J’ai pu travailler avec lui et voir comment il aborde un écran ou un défenseur en transition. Il simplifie le jeu. »Des précieux conseils que CJ McCollum entend désormais mettre à profit sur le terrain pour orchestrer au mieux les offensives des Blazers.
« Dans la manière dont nous gérons nos attaques, il y a beaucoup de mouvements et les spots sont interchangeables. Donc je pense qu’il n’y aura pas beaucoup de différence (entre le poste de meneur et d’arrière). Tout dépend de notre rythme et de notre tempo. Il ne faut pas faire le dribble de trop. »