« En tant qu’athlète professionnel, vous avez toujours envie que quelqu’un vous pousse et vous motive », explique Chris Paul à Yahoo ! Sports. « Lors du premier rendez-vous que j’ai eu avec Doc Rivers, il m’a dit que je n’avais encore rien fait dans cette ligue. Et il avait raison. »Doc Rivers n’est pas le genre à garder sa langue dans sa poche. On sent que le coach aime piquer – ou non, selon le caractère du joueur – ses stars afin de les motiver au maximum.
« J’ai coaché plein de superstars. J’ai même coaché Patrick Ewing (à Orlando, à la fin de la carrière de ce dernier – NDLR). Toutes sont différentes mais ils sont tous de supers joueurs. Je ne pense pas qu’elles doivent être toutes traitées de la même manière. »Le coach s’adapte afin de tirer le meilleur profit de son joueur. Telle est la philosophie de Doc Rivers. Les Clippers sont déjà séduits :
« Il y a une chose que j’ai déjà apprise avec Doc Rivers », raconte Chris Paul. « Il s’attend à ce que l’on fasse certaines choses. Il ne va pas nous traiter comme des enfants mais comme des hommes. »CP3, Doc et les dirigeants ont tous le même objectif : le titre. Le coach se sent capable de porter la franchise jusqu’au sommet.
« Il n’y a que quelques équipes qui peuvent viser un tel objectif et je pense que nous sommes dans cette catégorieUn titre, c’est peut-être la seule chose qui manque à Chris Paul sur son CV…