Chris Bosh, ce fan de musique classique

Si les joueurs NBA aiment généralement se mettre en condition avec du hip hop ou de l'électro, Chris Bosh est plutôt Beethoven et Tchaikovsky.

Lorsque le coup d'envoi d'une rencontre approche, beaucoup de joueurs se mettent dans leur bulle, casque vissé sur les oreilles. A l'instar du "Get Psyched Mix" de Barney Stinson dans "How I met your mother", ce sont généralement des sons dynamiques et entraînants que choisissent les NBAers pour attaquer le match sur un gros rythme. Chris Bosh n'est pas de ce genre-là. Plutôt que de s'envoyer du hip-hop ou des sons électoniques comme la plupart de ses homologues, l'intérieur du Heat fait dans la finesse.
"J'ai eu beaucoup de coéquipiers durant ma carrière et j'ai vu une tonne de préparations différentes. Chris est le premier que je vois écouter du Beethoven ou du Tchaikovsky tout en lisant un livre avant le début d'un match", a expliqué Shane Battier au Palm Beach Post.
Bosh est en effet un amateur de musique classique, de jazz et de littérature pour se mettre en condition.
"Je ne suis pas un joueur qui a besoin d'être excité au début d'un match. Je laisse venir l'intensité au moment opportun. J'aime le calme avant la tempête. Lire m'apporte calme et tranquilité".
Pour l'anecdote, Chris Bosh lira des chapitres de "L'Art de la guerre", de Sun Tzu, avant le match du 1er tour des playoffs contre Charlotte.
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