"Qui j'aime regarder ? C'est dur à regarder aujourd'hui... C'est un jeu différent. Il y a quelques bons matches, mais il y en a aussi beaucoup de mauvais. Plus de mauvais que de bons...", a expliqué Charles Oakley.La raison pour laquelle "Oak" a du mal à se passionner pour les rencontres aujourd'hui vient finalement principalement des joueurs, qui selon lui n'ont plus la même envie qu'il y a 15 ou 20 ans.
"On voit souvent les mêmes équipes atteindre les Finales ou gagner 55 matches. Ce sont des équipes fortes et avec des coaches forts en tête. Les joueurs ne pensent plus aujourd'hui, ils ne savent pas jouer ensemble. La faiblesse principale, c'est la communication. Ils n'aiment pas le jeu. Ils le pratiquent, mais pas avec leur coeur".Bon, pour le coup tout ça fait un peu vieux combattant qui aime répéter que "c'était mieux avant". Mais jusqu'à preuve du contraire, beaucoup de joueurs à l'époque jouaient essentiellement pour l'argent aussi et les exemples d'équipes qui avaient du mal collectivement et reposaient sur des individualités n'était pas moins nombreux...