"C'était dur à regarder pour moi. J'ai songé à y aller, mais je me suis demandé ce que j'allais bien pouvoir faire. Charles, c'est mon gars. Je n'ai pas aimé ce que j'ai vu".L'année dernière, Charles Oakley avait exprimé quelques griefs contre James Dolan, qu'il avait tenté plusieurs fois de rencontrer sans succès pour s'expliquer d'homme à homme après que le quinqua a été interdit d'approcher l'équipe. Il avait notamment traité l'homme d'affaires de "bad man" et de "motherfucker", l'accusant à plusieurs reprises de couler la franchise.
Relâché après un passage au poste, Oakley assure n'avoir absolument rien dit à James Dolan et avoir simplement répondu au service de sécurité venu questionner sa présence aussi près du propriétaire. "Je leur ai dit que j'avais acheté les tickets moi-même. Je jure sur la tête de ma mère que je n'ai pas parlé à Dolan. J'ai demandé aux mecs pourquoi ils me regardaient comme ça et ils m'ont demandé de partir. J'ai refusé", a-t-il expliqué au New York Daily News. Les Knicks ont eux communiqué après la rencontre :SBNY Exclusive: Charles Oakley on the ground surrounded by police and Garden security pic.twitter.com/cemhHF4Lu0
— SportsBlogNewYork (@SportBlogNYC) February 9, 2017
"Charles Oakley s'est comporté de manière inappropriée et abusive. Il a été expulsé et arrêté par la police. Il a été un grand joueur de la franchise et on espère qu'il recevra de l'aide prochainement".Il y a de fortes chances que l'on ne revoit plus "Oak" au Madison Square Garden pendant un bon moment...