« À chaque fois que Grant Hill se blessait, j’étais tellement énervé. Ce gars est soft, il s’en fiche, il prend trop d’argent pour être blessé », raconte-t-il. « Maintenant que je suis à sa place, je voudrais juste l’appeler et lui dire « hé mec, désolé ». »
Désormais, Parsons est de l’autre côté de ce business. C’est lui qui est malheureusement freiné par les blessures, qui décroche des contrats faramineux. Il est donc loin le temps du jeune Chandler grandissant en Floride.« J’étais ce gosse qui brûlait le maillot d’Hill quand il est parti », confie-t-il. « Je comprends que c’est ce qui rend le sport si génial. Mais ça va être encore plus drôle de retourner les fans et de les avoir de mon côté. »
Pour cela, Chandler Parsons va par contre devoir prouver qu’il a la condition physique pour enchaîner les matchs en NBA. La saison dernière, il n’a disputé que 34 rencontres.