« Je m’éclatais tellement à l’école. A ce moment là, Syracuse était peut-être l’université où il y avait le plus de fêtes en Amérique ».The Princeton Review confirme les dires de Carmelo puisqu’elle a classé Syracuse comme étant la 5ème université du pays à faire le plus la fête. Anthony n’était donc pas prêt à quitter l’école mais son coach de l’époque, Jim Boeheim, l’y a poussé.
« Je profitais à fond et n’avais pas envie de partir. Boeheim m’a emmené dans son bureau et m’a en quelque sorte poussé dehors. Il m'a dit ‘on n’a plus besoin de tes services’ ».On se dit qu'il est peut-être quand même mieux que Jim Boeheim soit intervenu... Une année de beuveries en plus aurait peut-être un peu pénalisé Carmelo Anthony dans sa quête de grandeur...